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Verdict

Le passage à la propulsion arrière fait de la C40 une proposition légèrement plus dynamique, tandis que les améliorations réelles de l’autonomie et de l’efficacité suffisent à maintenir la compétitivité. Dans l’ensemble, nous recommandons toujours le XC40 plus pratique, mais des forfaits d’abonnement attractifs signifient que pour le moment, ce C40 est en fait l’option la plus abordable.

Ce n’est pas souvent que le train de roulement principal d’une voiture est fondamentalement modifié au milieu de son cycle de vie. Pourtant, avec le C40 de base, ainsi que le XC40 mécaniquement similaire, Volvo a déplacé le moteur électrique de l’essieu avant vers l’arrière.

Historiquement, les voitures à propulsion arrière ont été préférées par les passionnés, bien que Volvo affirme que les changements apportés ici visent principalement à améliorer l’efficacité. Tel que testé – et bien qu’il n’y ait eu aucune modification de la taille ou de la chimie de la batterie – notre C40 à moteur unique en version Plus de milieu de gamme offre une autonomie revendiquée de 295 miles, contre 269 miles auparavant.

Mais le taux de charge maximal des voitures XC40 et C40 à moteur unique mises à jour passe de 150 kW à 130 kW, apparemment en raison d’un changement de fournisseur de batteries. Cela signifie qu’ils prennent quelques minutes supplémentaires pour charger de 10 à 80 %, ce qui nécessite 34 minutes.

Il convient de noter à ce stade que notre voiture était équipée d’un moteur légèrement plus puissant de 249 ch, qui, sur d’autres marchés, peut être associé à une batterie « longue portée » de 82 kWh. Au Royaume-Uni, cette batterie plus grande n’est disponible que sur les voitures Recharge Twin à deux moteurs.

En conduite mixte, y compris des périodes plus longues de croisière sur autoroute à 70 mph – notoirement dommageables pour l’autonomie projetée d’un véhicule électrique – notre modèle à propulsion arrière a constamment renvoyé plus de 3,3 miles / kWh à basse température. Cela se traduit par une amélioration réelle d’environ 30 miles par rapport au XC40 à traction avant.

Sur la route, les mises à jour sont subtiles. À basse vitesse, vous ne remarquerez jamais la différence ; malgré la libération d’espace sur l’essieu avant, le déplacement du moteur n’a pas entraîné d’avantages tels qu’un rayon de braquage réduit. Sur les (nouvelles) roues aérodynamiques de 19 pouces de notre voiture, la conduite est suffisamment confortable et vous pouvez régler le poids de la direction via le menu d’infodivertissement.

Augmentez votre vitesse et encore une fois, vous aurez du mal à séparer ce nouveau C40 de son prédécesseur à traction avant. Ce n’est que lorsque vous poussez vraiment la voiture sur une route étroite et sinueuse ou que vous éloignez l’accélérateur des intersections que vous sentez que la puissance est envoyée à l’arrière. La séparation des entrées de conduite et de direction signifie qu’il y a un peu plus d’adhérence à l’avant, perceptible même si notre voiture était équipée de pneus toutes saisons.

Les performances sont plus que correctes. Nous ne nous attendons pas à ce que la petite augmentation de puissance de notre voiture aux spécifications européennes soit perceptible dans l’utilisation quotidienne, mais avec 235 ch et 420 Nm de couple, la C40 la moins chère devrait se sentir énergique. Le plus élégant des deux petits SUV de Volvo est toujours silencieux, même à des vitesses d’autoroute, mais nous éviterions les plus grandes jantes si le raffinement est une priorité absolue.

La seule autre différence notable par rapport à la C40 à traction avant est le système de freinage régénératif. Volvo l’appelle toujours « une pédale », mais elle est beaucoup moins agressive qu’auparavant, bien qu’elle soit suffisante pour arrêter complètement la voiture.

Il reste une gamme de spécifications Core (à partir de 48 355 £), Plus et Ultimate, avec Plus notre choix. Le C40 coûte entre 950 £ et 1 850 £ de plus que le XC40 équivalent, selon la version et le choix du moteur, mais le coupé est actuellement moins cher sur le forfait d’abonnement à prix fixe Care By Volvo.

De plus, la spécification ajoute une entrée sans clé, un réglage électrique du siège et un volant chauffant, ainsi qu’un hayon automatique, des sièges arrière chauffants et une pompe à chaleur. Les voitures de base ont des lumières LED automatiques, une climatisation à deux zones et des écrans jumeaux, ainsi que, bien sûr, tous les systèmes de sécurité que vous attendez d’une Volvo.

On a toujours l’impression que quelques coins ont été coupés en ce qui concerne la qualité globale de la cabine, car les C40 standard et de milieu de gamme ont du mal à justifier leur prix d’environ 50 000 £, et cela n’est pas aidé par l’infodivertissement relativement petit de neuf pouces. afficher. C’est dommage, car le logiciel Google qu’il exécute est à jour.

Les voitures ultimes reçoivent des détails coquins tels qu’un sélecteur de vitesse en cristal (pas pour tous les goûts, mais cela rehausse définitivement l’ambiance intérieure), des roues de 20 pouces, une caméra à 360 degrés, un toit panoramique et une chaîne stéréo Harman Kardon.

Malgré sa forme swoopier, le C40 fait un assez bon poing des affaires familiales. Son coffre de 413 litres n’est pas beaucoup plus petit que celui du XC40, et il y a de l’espace dans le nez pour ranger les câbles de charge. L’espace pour la tête et les jambes à l’arrière est également assez généreux.